Tes beaux yeux sont las, pauvre am… Reste longtemps, sans les rouvrir, Dans cette pose nonchalante Où t’a surprise le plaisir. Dans la cour le jet d’eau qui jase…

Lecteur paisible et bucolique, Sobre et naïf homme de bien, Jette ce livre saturnien, Orgiaque et mélancolique. Si tu n’as fait ta rhétorique

Vous pouvez mépriser les yeux les… Beaux yeux de mon enfant, par où f… Je ne sais quoi de bon, de doux co… Beaux yeux, versez sur moi vos cha… Grands yeux de mon enfant, arcanes…

Dans les planches d’anatomie Qui traînent sur ces quais poudreu… Où maint livre cadavéreux Dort comme une antique momie, Dessins auxquels la gravité

La Débauche et la Mort sont deux… Prodigues de baisers et riches de… Dont le flanc toujours vierge et d… Sous l’éternel labeur n’a jamais e… Au poète sinistre, ennemi des fami…

« D’où vous vient, disiez-vous, ce… Montant comme la mer sur le roc no… —Quand notre coeur a fait une fois… Vivre est un mal. C’est un secret… Une douleur très simple et non mys…

Sans cesse à mes côtés s’agite le… II nage autour de moi comme un ai… Je l’avale et le sens qui brûle mo… Et l’emplit d’un désir éternel et… Parfois il prend, sachant mon gran…

Le regard singulier d’une femme ga… Qui se glisse vers nous comme le r… Que la lune onduleuse envoie au la… Quand elle y veut baigner sa beaut… Le dernier sac d’écus dans les doi…

Que j’aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde

Grands bois, vous m’effrayez comme… Vous hurlez comme l’orgue ; et dan… Chambres d’éternel deuil où vibren… Répondent les échos de vos De pro… Je te hais, Océan ! tes bonds et…

Bientôt nous plongerons dans les f… Adieu, vive clarté de nos étés tro… J’entends déjà tomber avec des cho… Le bois retentissant sur le pavé d… Tout l’hiver va rentrer dans mon ê…

Ma femme est morte, je suis libre… Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu’un roi je suis heureux ;

L’Amour est assis sur le crâne De l’Humanité, Et sur ce trône le profane, Au rire effronté, Souffle gaiement des bulles rondes

Comme un bétail pensif sur le sabl… Elles tournent leurs yeux vers l’h… Et leurs pieds se cherchant et leu… Ont de douces langueurs et des fri… Les unes, coeurs épris des longues…