#XIXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Dans les plis sinueux des vieilles… Où tout, même l’horreur, tourne au… Je guette, obéissant à mes humeurs… Des êtres singuliers, décrépits et… Ces monstres disloqués furent jadi…
Mon coeur, comme un oiseau, voltig… Et planait librement à l’entour de… Le navire roulait sous un ciel san… Comme un ange enivré d’un soleil r… Quelle est cette île triste et noi…
C’est ici la case sacrée Où cette fille très parée, Tranquille et toujours préparée, D’une main éventant ses seins, Et son coude dans les coussins,
II est amer et doux, pendant les… D’écouter, près du feu qui palpite… Les souvenirs lointains lentement… Au bruit des carillons qui chanten… Bienheureuse la cloche au gosier v…
La rue assourdissante autour de mo… Longue, mince, en grand deuil, dou… Une femme passa, d’une main fastue… Soulevant, balançant le feston et… Agile et noble, avec sa jambe de s…
Ma femme est morte, je suis libre… Je puis donc boire tout mon soûl. Lorsque je rentrais sans un sou, Ses cris me déchiraient la fibre. Autant qu’un roi je suis heureux ;
Le poète au cachot, débraillé, mal… Roulant un manuscrit sous son pied… Mesure d’un regard que la terreur… L’escalier de vertige où s’abîme s… Les rires enivrants dont s’emplit…
L’Amour est assis sur le crâne De l’Humanité, Et sur ce trône le profane, Au rire effronté, Souffle gaiement des bulles rondes
Dans des fauteuils fanés des court… Pâles, le sourcil peint, l’oeil câ… Minaudant, et faisant de leurs mai… Tomber un cliquetis de pierre et d… Autour des verts tapis des visages…
Je veux te raconter, ô molle encha… Les diverses beautés qui parent ta… Je veux te peindre ta beauté, Où l’enfance s’allie à la maturité… Quand tu vas balayant l’air de ta…
Dans les caveaux d’insondable tris… Où le Destin m’a déjà relégué ; Où jamais n’entre un rayon rose et… Où, seul avec la Nuit, maussade h… Je suis comme un peintre qu’un Di…
La sottise, l’erreur, le péché, la… Occupent nos esprits et travaillen… Et nous alimentons nos aimables re… Comme les mendiants nourrissent le… Nos péchés sont têtus, nos repenti…
Tes pieds sont aussi fins que tes… Est large à faire envie à la plus… À l’artiste pensif ton corps est d… Tes grands yeux de velours sont pl… Aux pays chauds et bleus où ton D…
Ô fins d’automne, hivers, printemp… Endormeuses saisons ! je vous aime… D’envelopper ainsi mon coeur et mo… D’un linceul vaporeux et d’un vagu… Dans cette grande plaine où l’auta…
Je t’adore à l’égal de la voûte no… Ô vase de tristesse, ô grande taci… Et t’aime d’autant plus, belle, qu… Et que tu me parais, ornement de m… Plus ironiquement accumuler les li…