"Derniers vers (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
C’est un trou de verdure où chante… Accrochant follement aux herbes de… D’argent ; où le soleil, de la mon… Luit : c’est un petit val qui mous… Un soldat jeune, bouche ouverte, t…
Et la Mère, fermant le livre du d… S’en allait satisfaite et très fiè… Dans les yeux bleus et sous le fro… L’âme de son enfant livrée aux rép… Tout le jour il suait d’obéissance…
Ceux qui disent : Cré Nom, ceux q… Soldats, marins, débris d’Empire,… Sont nuls, très nuls, devant les… Qui tailladent l’azur frontière à… Pipe aux dents, lame en main, prof…
Loin des oiseaux, des troupeaux, d… Je buvais, accroupi dans quelque b… Entourée de tendres bois de noiset… Par un brouillard d’après-midi tiè… Que pouvais-je boire dans cette je…
Plates-bandes d’amarantes jusqu’à L’agréable palais de Jupiter. —Je sais que c’est Toi qui, dans… Mêles ton bleu presque de Sahara… Puis, comme rose et sapin du solei…
Le Soleil, le foyer de tendresse… Verse l’amour brûlant à la terre r… Et, quand on est couché sur la val… Que la terre est nubile et déborde… Que son immense sein, soulevé par…
Quelqu’une des voix Toujours angélique —Il s’agit de moi, - Vertement s’explique : Ces mille questions
Dans la salle à manger brune, que… Une odeur de vernis et de fruits,… Je ramassais un plat de je ne sais… Belge, et je m’épatais dans mon im… En mangeant, j’écoutais l’horloge,…
C’est un large buffet sculpté ; le… Très vieux, a pris cet air si bon… Le buffet est ouvert, et verse dan… Comme un flot de vin vieux, des pa… Tout plein, c’est un fouillis de v…
Je vis assis, tel qu’un ange aux m… Empoignant une chope à fortes cann… L’hypogastre et le col cambrés, un… Aux dents, sous l’air gonflé d’imp… Tels que les excréments chauds d’u…
À quatre heures du matin, l’été, Le sommeil d’amour dure encore. Sous les bosquets l’aube évapore L’odeur du soir fêté. Mais là-bas dans l’immense chantie…
Le mouvement de lacet sur la berge… Le gouffre à l’étambot, La célérité de la rampe, L’énorme passade du courant, Mènent par les lumières inouïes
L’étoile a pleuré rose au coeur de… L’infini roulé blanc de ta nuque à… La mer a perlé rousse à tes mammes… Et l’Homme saigné noir à ton flan…
Sur l’onde calme et noire où dorme… La blanche Ophélia flotte comme u… Flotte très lentement, couchée en… —On entend dans les bois lointains… Voici plus de mille ans que la tri…
Jeanne-Marie a des mains fortes, Mains sombres que l’été tanna, Mains pâles comme des mains mortes… —Sont—ce des mains de Juana ? Ont-elles pris les crèmes brunes