(Sur les parodistes.)
Que, pour souper à nos dépens,
Maint parodiste nous poursuive,
De grand cœur, ami, j’y consens :
« II faut que tout le monde vive. »
« J’en vois peu la nécessité, »
Dit à certain folliculaire
Certain ministre un peu sévère :
Nous aurons plus de charité.
Admirateurs d’un si bel ordre,
Gardons-nous bien d’y rien changer :
Puisque pour vivre il faut manger,
Pour manger, permettons de mordre.
Écrit en 1799.