Le long des rues bruissantes, les belles enseignes polychromes déteintes épuisent toutes les variétés de caractères romantiques.
L’une d’elles un moment me tient sous le charme pervers des tableaux de l’époque négativiste de
René iMagritte.
Mais ce que je contemple de loin est d’un
Magritte extrêmement nuancé—avec la réalité en voie de rupture ou de conciliation ?
Qu’on se représente, de la taille d’un aigle, un papillon bleu ciel sur lequel se lit en lettres blanches le mot pigeon.
Au demeurant, un naturaliste de ce nom, simplement...